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HOMMAGE À MAURICE PONS VENDREDI 26 SEPTEMBRE À PARTIR DE 18H00 AU SAINT ANDRÉ DES ARTS PARIS

HOMMAGE À MAURICE PONS

"MAURICE PONS, ÉCRIVAIN DE L’ÉTRANGE"

de Abdenour ZAHZAH France-Algerie / 2007 / 70’

Le film est une rencontre avec Maurice Pons dans une résidence d’écriture appelée Le Moulin d’Andé où l’écrivain vit et travaille depuis 1957 et où sont nés plusieurs de ses « chefs d’œuvre » : « Rosa », « Mademoiselle B », « Les Saisons », notamment...
A travers ses lectures, des entretiens archivés, des extraits d’œuvres adaptés de son œuvre… le film tente de cerner cette plume étrange qui continue à déranger par sa discrétion amusée et à embarrasser par sa distance mélancolique.


Mais, Maurice Pons est aussi l’intellectuel engagé qui a signé le manifeste des 121 et nous a livré deux romans concernant la guerre d’Algérie, « Le Cordonnier Aristote » (Embuscade à Palestro – 1958) et « Le Passager de la nuit » (1960). Il est encore le scénariste de « La Belle vie » de Robert Enrico qui figure également dans notre programme.

SUIVI À 20H30

"LA BELLE VIE"
de Robert Enrico France / 1963 / 105’

Un appelé du contingent revient d’Algérie après 27 mois de service. À Paris, il retrouve son amie Sylvie lors d’un bal populaire. Il l’épouse, part en voyage de noces avec elle, et, une fois de retour, trouve un emploi de photographe, tandis que Sylvie travaille dans la coiffure. Un matin, celle-ci lui annonce qu’il va être père. « Adieu la belle vie ! ». Puis un jour, un gendarme vient remettre à Frédéric un ordre de mobilisation ; la guerre le rappelle.

Robert Enrico
Né à Liévin, dans le Pas de Calais, de parents émigrés italiens, Robert Enrico est diplômé à 20 ans, en 1951, de l’IDHEC.
Il ne tarde pas à manifester son talent en recevant la Palme d’Or à Cannes, en 1962, pour son court métrage, « La Rivière du hibou « , lequel lui vaut aussi un Oscar à Hollywood, deux ans plus tard.
Entretemps, il reçoit le prestigieux Prix Jean Vigo, pour « La Belle vie ».
En 1976, il est multi césarisé pour « Le Vieux fusil » qui sera sacré, presque dix années plus tard, en 1985, « César des Césars »…