Le Maghreb des films 2015 du mercredi 9 au mardi 15 décembre
Du mercredi 9 au vendredi 11 décembre, 12 films qui interrogent les marges formelles, existentielles, sociales ou géographiques du Maghreb.
Au SAINT-ANDRE DES ARTS, 30 Rue Saint-André des Arts, 75006 Paris,
La plupart des séances seront suivies de débats en présence des réalisateurs
Mercredi 9 décembre : deux films nous invitent à réfléchir sur la place du cinéma dans le temps présent
Séance de 18h30 : Sans Cinéma
BOUT A BOUT de Asmae El Moudir (Maroc/fiction/2014/25’)
Laarbi, un vieux projectionniste, travaille dans une salle de cinéma isolée dans la campagne et menacée de fermer. Son petit-fils, un garçon de 10 ans, découvre en rangeant les affaires de Laarbi, de vieux morceaux de pellicule qui vont transformer l’avenir de cette salle...
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BLA CINEMA de Lamine Ammar-Khodja (Algérie /documentaire/2014/82’)
Meissonier, Alger centre, sur la placette en face du cinéma fraîchement rénové « Sierra Maestra », le cinéaste se mêle aux gens du quartier pour parler avec eux de films. Attentif à ce qu’ils peuvent lui raconter de leur vécu, il se laisse très vite porter par les rencontres spontanées et les situations improvisées. Le film dresse un portrait vivant de la ville et propose en filigrane une réflexion sur la place du cinéma en Algérie.
2014 29èmes Entrevues de Belfort, France
* PREMIÈRE MONDIALE
* Mention Spéciale du jury
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Séance de 21h : Entre fiction et documentaire
LE VOYAGE DANS LA BOITE de Amine Sabir (France/Fiction/2014/27’)
Abdelkrim arrive en Corse pour rapatrier au Maroc le corps de Saïd, son ami décédé dans la précarité. Il doit le rendre à sa famille qui s’impatiente au pays pour l’enterrer le plus vite possible.
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PAR OU COMMENCER ? de Nacer Khemir (Tunisie /Fiction/Documentaire/2014/80’)
« Il y a en Tunisie autour de vingt mille cafés mais à peine dix salles de cinéma. Dans le passé nous, les arabes, avons raté la révolution de l’imprimerie. Je me demande, si aujourd’hui, nous ne sommes pas en train de rater la révolution de l’image » Nacer Khémir
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Jeudi 10 décembre : Mémoires des régions intérieures du Maroc et de Tunisie
Séance de 18h30 : Mémoires des régions oubliées
LA NUIT ET L’ENFANT de David Yon (France/documentaire/2015/60’)
Une nuit se prolonge sur les hautes steppes de l’Atlas. Lamine et un enfant marchent sur une terre où résonne encore l’écho d’une menace. Au gré des lieux traversés où le passé affleure, il nous conte son histoire.
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UN RETOUR de Abdallah Yahya (Tunisie/Documentaire/2013/59’)
Dans un village tunisien, à Sidi Bouzid, ont lieu des arrestations massives contre les jeunes qui ont revendiqué leur droit au travail. Les anciens du village décident d’entamer une grève de la faim. Hamza, 12 ans, nous fait découvrir ce village, entre résistance et mémoire.
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Séance de 21h : Visions intérieures du printemps tunisiens
POUSSES DE PRINTEMPS de Intissar Belaid (Tunisie /Documentaire/2014/23’)
En Tunisie, dans les zones rurales de la région du Kef, des enfants racontent leur révolution : de leurs paroles naissent des images animées.
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LE VISAGE DE DIEU de Bahram Aloui (Tunisie/Documentaire/2014/58’)
A 30 ans passés et à la suite de nombreuses déceptions, un jeune homme déjà usé par la vie, se remémore son passé. Il revient ainsi sur son enfance dans son village du nord-ouest tunisien au milieu des années 80. Il se déplace à travers différents espaces, lieux publics réels ou imaginés qu’il cherche à s’approprier pour continuer à raconter son histoire.
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Vendredi 11 décembre : Quatre documentaires qui filment le temps et révèlent leur société, sa cruauté et ses rêves
Séance de 18h30 : Temps de Tunisie
HORS-JE de Moufida Fedhila (Tunisie/Docufiction/2014/6’37)
Hors-je est un espace où tout semble possible à travers le rêve qui se conte, se métamorphose et devient acteur.
Dans un quartier populaire de Tunis (Cité Ettadhamen), les enfants sont invités à envahir les murs en déclarant le rêve total, libre et sans limites.
Prix du Meilleur Court Métrage Documentaire au Festival des Réalisateurs Tunisiens.
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ZAAFRANE de Khaled Ghorbal (Tunisie, France / documentaire /2015/90’)
Un film tourné en 2001 et perdu aussitôt après le tournage. C’est la rencontre d’une famille nombreuse avec ses membres de plusieurs générations vivant dans le même houch, à Zaafrane, petit village tunisien. Une partie du film est retrouvée une dizaine d’années après, en images VHS de travail. La décision de faire aboutir le film a nécessité un retour fin 2012, pour revoir la famille et son évolution, ainsi que Zaafrane après tout ce temps et après une révolution.
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Séance de 21h : Filmer l’attente (Maroc)
LES POISSONS DU DESERT de Alaa Eddine Aljem (Maroc/Fiction/2015/30’)
Le sud Marocain. Le fils veut devenir un pêcheur et rêve d’aller à la mer. Le Père ne peut comprendre le désir de son fils de quitter leur terre. C’est l’histoire d’un père et d’un fils qui ont besoin de se séparer pour se rencontrer.
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LA ROUTE DU PAIN de Hicham Elladdaqi (Maroc, France, Belgique/Documentaire/2015/61’)
Le quotidien des habitants d’un quartier populaire de Marrakech, ou le ballet toujours recommencé des laissés pour compte d’un système. Chaque jour, ils sont des milliers d’hommes et de femmes à se poster aux pieds des remparts de la Médina pour quémander du travail. Ils sont les petites mains, la cheville ouvrière indispensable à l’essor économique d’une ville portée par une industrie touristique florissante.
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Samedi 12 décembre Rétrospective Daoud Aoulad Syad, suite et fin
MAISON EUROPEENNE DE LA PHOTOGRAPHIE 5/7 Rue de Fourcy, 75004 Paris
Samedi 12 décembre à 17h10
MEMOIRE OCRE de Daoud Aoulad-Syad ( Maroc/Documentaire/1989/17’
L’itinéraire d’enfance du réalisateur à travers la ville de Marrakech, fait il y a quelque années, photographies du passé, porteuses d’un message ou non, intérieures ou extérieures, tendres ou cruelles, liées dans un film établissant un va et vient entre le mouvement dans l’image et le caméra, le blanc et la couleur, le passé et le présent.
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LA MOSQUEE (Maroc/fiction/2010/85’) de Daoud Aoulad-Syad
Les décors du film antérieur de Daoud Aoulad-Syad, En attendant Pasolini, avaient été élevés sur des parcelles de terre louées à des villageois. Une mosquée avait ainsi été construite sur le terrain de Moha. À la fin du tournage, l’équipe du film quitte les lieux.
Les villageois démolissent tous les décors à l’exception de la mosquée, devenue un véritable lieu de culte et de prière pour tout le village. Et un vrai désastre pour Moha qui cultivait sur ce terrain les légumes qui permettaient à sa famille de vivre.
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Samedi 12 et dimanche 13 décembre, Hommage à Ahmed Bouanani (voir la présentation dans la page qui lui est consacrée)
Au SAINT-ANDRE DES ARTS 30 Rue Saint-André des Arts, 75006 Paris,
Samedi 12 décembre à 18h30
Le premier et le dernier films :
LE MIRAGE de Ahmed Bouanani (Maroc/Fiction/1979/100’)
L’unique long-métrage de fiction d’Ahmed Bouanani constitue une date marquante de l’histoire du cinéma marocain : « Un homme découvre de l’argent dans un sac de farine. C’est le début de la fable qui se situe entre hier et demain, entre le silence et le cri, et qui s’achève comme une désillusion. »
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TARFAYA OU LA MARCHE D’UN POETE de Ahmed Bouanani et Mohamed Abderrahman Tazi (Maroc/Fiction/1966/20’)
Le premier court-métrage d’Ahmed Bouanani raconte l’histoire d’un homme de Tarfaya qui, depuis sa plus tendre enfance, pénétré par la grandeur de son pays, la puissance de sa beauté et la vie de ses ancêtres, part à la recherche d’un grand poète populaire dont on lui a parlé, pour apprendre de lui la sagesse, la musique, et l’art merveilleux du chant et de la poésie.
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Samedi 12 décembre à 21h
Père et passeur de patrimoine et de cinéma :
FRAGMENTS DE MEMOIRE de Touda Bouanani (documentaire/18’)
Touda Bouanani retrace rapidement le parcours d’Ahmed Bouanani, cet « illustre inconnu ». Elle évoque ensuite sa tâche de sauvetage des manuscrits inédits de son père.
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PETITE HISTOIRE EN MARGE DU CINEMATOGRAPHE de Ahmed Bouanani (Maroc/documentaire/1973/6’)
Un court hommage, tourné pour les « Actualités Filmées » marocaines, consacré au père autodidacte du cinéma marocain : Mohamed Osfour.
TRAILER d’un film « en cours » consacré à Ahmed Bouanani, de Ali Essafi (Maroc/18’)
Ali Essafi a capturé, peu de temps avant sa mort, quelques inestimables témoignages d’un talentueux et protéiforme pionnier du cinéma marocain : Ahmed Bouanani
LES QUATRE SOURCES de Ahmed Bouanani (Maroc/Fiction/1978/37’)
L’unique film en couleur d’Ahmed Bouanani est un essai poétique et onirique en arabe dialectal (parole poétique zajal, forme déclamée dans des assemblées populaires). Il suit la trajectoire d’un jeune homme dont le village est incendié et la mère tuée. Il se souvient des paroles de son père sur son lit de mort qui lui conseille d’aller trouver un sage dans les montagnes et part à sa recherche.
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Dimanche 13 décembre à 18h30
Expériences collectives (renouvellement productif du cinéma marocain) :
SIX ET DOUZE de Ahmed Bouanani, Mohamed Abderrahmane Tazi, Abdelmajid Rechiche (Maroc/Documentaire/1968/18’)
Vues de Casablanca, véritable symphonie urbaine digne de Walter Ruttmann ou Dziga Vertov, ainsi décrite par l’équipe de réalisation : "Nous avons choisi des images à travers une ville - des instants - temps cloîtré ouvert carapaçonné fenêtres dans le vide des yeux fermés entrebâillés agrippés - absence et solitude des pavés mouillés d’une fête morose qui s’est terminée, peut-être le noir l’a absorbée l’a enfermée, dans des cadenas par delà des clés rouillées immensément grandes et des portes qui ne tiennent plus - soudain l’ombre - soudain le geste le bruit de pas …." (A. Bouanani)
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TRACES/WECHMA de Hamid Bennani (Maroc/fiction/1970/110’)
Mekki adopte Messaoud, jeune orphelin de 8 ans. Ne pouvant s’adapter facilement à son nouveau milieu, Messaoud supporte mal les exigences de son père adoptif, commet des actes répréhensibles, et attire sur lui sa colère. Devenu adolescent, il fréquente une bande de délinquants et commet quelques délits mineurs. Il ne veut pas de cette vie marginale. Mais il est pris dans un engrenage qui provoque sa propre perte.
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Dimanche 13 décembre à 21h
Vers une école cinématographique marocaine ? (permanence de ses interrogations sur le montage et la mémoire)
MEMOIRE 14 de Ahmed Bouanani (Maroc/Documentaire/1971/24’)
Mémoire 14 est à l’origine un poème écrit par Bouanani en 1967. Réalisé à partir des archives filmées du Centre Cinématographique Marocain, le film se veut un récit du Protectorat Français au Maroc, vu par les mémoires nourries de mythes des Marocains.
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DE CHAIR ET D’ACIER de Mohamed Afifi (Maroc/Documentaire/1958/11’)
Evocation du port de la ville de Casablanca, faite de chair et d’acier, avec ses ballets de grues et la marche de ceux qui la peuplent. (Cinémathèque de Tanger)
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RETOUR EN AGADIR de Mohamed Afifi (Maroc/Documentaire/1967/11’)
Retour à Agadir, avant et après le séisme de 1960. Le réalisateur décrit ainsi ce court-métrage : « Retour à Agadir n’est pas un documentaire, encore moins un film touristique. Si je devais « le raconter », je dirais qu’il s’agit de la brève course d’une mémoire présentée sous l’apparence d’une statue en plusieurs mouvements. Si cela paraissait insuffisamment clair, j’ajouterais que les strophes qui composent Retour à Agadir constituent un ouvrage fermé. »
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MEMOIRE OCRE de Daoud Aoulad-Syad ( Maroc/Documentaire/1989/17’)
L’itinéraire d’enfance du réalisateur à travers la ville de Marrakech, fait il y a quelque années, photographies du passé, porteuses d’un message ou non, intérieures ou extérieures, tendres ou cruelles, liées dans un film établissant un va et vient entre le mouvement dans l’image et le caméra, le blanc et la couleur, le passé et le présent.
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KHOBZ OU BISSARA de Sanaa Zaher, Amina El Youssoufi, Youssef Belkhadir, Mohamed Elafifi, Bad Sektaoui (Maroc/2012/…/11’)
Film d’atelier encadré par Ivan Boccara et Ayoub el Jamal
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WANTED / AL HAREB / LA FUITE de Ali Essafi (Maroc, EAU/Documentaire/2011/24’)
Les années soixante-dix au Maroc. Les révoltes étudiantes revendiquent liberté et démocratie. Pour échapper aux arrestations de masse, Aziz accepte de vivre sous une fausse identité. Puissante évocation d’un parcours militant sur fond de répression durant les années de plomb.
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Lundi 14 et mardi 15 décembre Hommage à Noureddine Saïl (voir la présentation dans la page qui lui est consacrée)
Au SAINT-ANDRE DES ARTS 30 Rue Saint-André des Arts, 75006 Paris
Lundi 14 décembre à 18h30
LA REGLE DU JEU de Jean Renoir (France/1939/fiction/112’)
Le marquis de la Chesnaye organise une partie de chasse sur son domaine de Sologne. Une pléiade d’invités arrive au château dont André Jurieu, héros national depuis sa traversée de l’Atlantique en vingt-trois heures. Un exploit réalisé pour les beaux yeux de la marquise Christine de La Chesnaye, en vain. Dans une société où nobles et domestiques sont soumis à la règle des conventions, Jurieu, par cet amour, bouleverse le jeu.
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Lundi 14 décembre à 21h
GHAZAL AL BANAT (FLIRT DE JEUNES FILLES) de Anwar Wagdi (Egypte/fiction/1949/100’)
Himam, un instituteur sans le sous, est engagé par un homme richissime pour donner des leçons particulières à sa fille. Il tombe amoureux de la jeune fille mais lui cache ses sentiments. Il lui incombera le rôle ingrat de la tirer d’affaires au gré de ses mésaventures sentimentales.
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Mardi 15 décembre à 18h30
SUR LA PLANCHE de Leila Kilani (Maroc, France/fiction/2011/106’)
« Je ne vole pas, je me rembourse ; je ne me prostitue pas, je m’invite ; je ne mens pas, je suis juste en avance sur la vérité : la mienne. » C’est ainsi que s’exprime au début du film, Badia, la meneuse d’un quatuor d’ouvrières qui, la nuit, versent dans la délinquance. A Tanger, où elles survivent, employées dans un atelier de décorticage des crevettes ou dans une usine de confection. Badia est en permanence à fleur de peau. Subversive, excessive, elle monte coup tordu sur coup tordu pour ne pas renoncer à ses rêves.
Sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs du festival de Cannes 2011
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Mardi 15 décembre à 21h
LE GRAND VOYAGE de Mohamed Abderrahmane Tazi (Maroc/fiction/1981/73’)
Variation sur le thème de l’itinéraire balisé, l’histoire de ce jeune camionneur à qui il arrive de nombreuses aventures, échappe à toute classification car s’il s’inscrit au départ dans le néo-réalisme, il bifurque vers la tragi-comédie pour basculer finalement dans la traduction fantasmatique du désespoir.
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BLACK SCREEN de Nour-Eddine Lakhmari (Maroc/docufiction/2014/15’)
Le cinéma marocain dans tous ses états !
Nadia Larguet, scénariste, fait parler la petite famille du cinéma marocain,... sous le mode du second degré.
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RFI, France 24 et Monte Carlo Doualiya sont partenaires de la 7e édition du Maghreb des Films du 5 novembre au 15 décembre à Paris.
Une plongée dans le meilleur du cinéma maghrébin d’aujourd’hui, d’Algérie, du Maroc et de Tunisie, mais aussi de Libye ou de Mauritanie.
Des avant-premières et des films inédits en présence de leurs auteurs.
Plus de soixante films, longs métrages et courts métrages, fictions et documentaires seront présentés en partenariat avec RFI.