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Maghreb des Films 2015 : les films par lieux de projection


Pour connaître au jour le jour le programme du Maghreb des Films 2015, allez sur LE JOURNAL DU MAGHREB DES FILMS

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LES LIE​UX

LES 3 LUXEMBOURG
67 Rue Monsieur le Prince, 75006 Paris

CINEMA LA CLEF
34 Rue Daubenton, 75005 Paris

CINEMATHEQUE UNIVERSITAIRE UNIVERSITE DE CENSIER PARIS III
13, rue de Santeuil 75005 Paris

CLUB DE L’ETOILE
14 Rue Troyon, 75017 Paris

ECOLE NORMALE SUPERIEURE
45 Rue d’Ulm, 75005 Paris

INSTITUT DES CULTURES D’ISLAM
56 rue Stéphenson, 75018 Paris
19-23 rue Léon, 75018 Paris

LE LOUXOR, PALAIS DU CINEMA
170 Boulevard de Magenta, 75010 Paris

MAISON DE LA TUNISIE
45 A Boulevard Jourdan, 75014 Paris

MAISON EUROPEENNE DE LA PHOTOGRAPHIE
5/7 Rue de Fourcy, 75004 Paris

STUDIO DES URSULINES
10 Rue des Ursulines, 75005 Paris

SAINT-ANDRE DES ARTS
30 Rue Saint-André des Arts, 75006 Paris


LE PROGRAMME PAR LIEUX

LES 3 LUXEMBOURG 67 Rue Monsieur le Prince, 75006 Paris

Samedi 21 novembre à 20h30
5 COURTS-MÉTRAGES LIBYENS
(Libye, UK/documentaires/2015)

DEAD END (8’30) de Ahmed Aboub
La Libye, grâce au chaos politique, est devenue le royaume des passeurs de clandestins. Les passeurs. Mais des milliers de migrants finissent oubliés, dans l’un des centres de détention 19.
DRIFTING (10’30) de Ahmed Aboub
Après la chute de Khadafi, retaper les épaves des voitures est devenu une passion nationale pour les jeunes libyens. Mohamed fourni des pièces détachées de BMW et des conseils aux bricoleurs. Toutefois, cette activité peut présenter quelques risques…
LAND OF MEN (4’) De Kelly Ali
Après la révolution de 2011, les femmes libyennes étaient pleines d’espoir. Que sont devenus leurs rêves ?
THE RUNNER (4’) de Mohannad Eissa
Quelles ont été les conséquences pour, le coureur libyen Al Tari Shibli qui après avoir remporté une course internationale, a révélé son tatouage du drapeau de la Libye indépendante ?
THE SECRET ROOM (4’) de Ibrahim Y Shebani
Le gardien du musée national libyen a vécu les 12 mois de la révolution dans l’anxiété et le tumulte. Quelles ont été les conséquences pour, le coureur libyen Al Tari Shibli qui après avoir remporté une course internationale, a révélé son tatouage du drapeau de la Libye indépendante ?
Au-delà de ce qu’on appelle « les révolutions arabes » et autres termes médiatiques, ce film, je le souhaite avant tout comme une contribution à la mémoire des femmes et des hommes, jeunes et moins jeunes, qui mènent un combat au quotidien afin de préserver la liberté d’informer dans un pays politiquement et socialement sclérosé. »


CINEMA LA CLEF 34 Rue Daubenton, 75005 Paris

Lundi 9 novembre à 20h
LI FET MET (LE PASSE EST MORT) d
e Nadia Bouferkas et Mehmet Arikan (France/documentaire/2007/72’)
Familles de harkis et familles de combattants cohabitent dans les bâtiments d’une ancienne « Section administrative spéciale » de l’armée française. Le passé pèse lourd pour tous, comme pour ceux qui se sont installés plus tard, chassés par le terrorisme. Le présent ne ressemble guère au rêve de l’Indépendance.

Débat à la suite de la projection avec Pierre Daum, journaliste, qui présentera son livre « Le dernier tabou, les Harkis restés en Algérie après l’indépendance » (Acte Sud)

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Vendredi 13 novembre à 20h
LA VIERGE ET LA CITE d
e Amalia Escriva (France/documentaire/2014/52’)
Le Mas de Mingue est une cité construite pour les rapatriés d’Algérie, habitée aujourd’hui par des Algériens et des Marocains. A l’Ascension, pourtant, se tient toujours et encore, et depuis 1963, un pèlerinage

catholique, en l’honneur de la statue de la Vierge de Santa-Cruz d’Oran, ramenée là par des Pieds-Noirs oranais et vénérée dans un important sanctuaire qui domine le quartier. Ce jour-là, 20 000 Pieds-Noirs arrivent alors au Mas de Mingue.

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CINEMATHEQUE UNIVERSITAIRE (CENSIER) 13, rue de Santeuil 75005 Paris

Mardi 24 novembre à 17h
LE THE A LA MENTHE d
e Abdelkrim Bahloul (France, Algérie/ Fiction/1985/ 85’)
Hamou a quitté l’Algérie pour faire fortune à Paris, et habite dans le quartier de Barbès.
Alors qu’il ne vit que de petits trafics, il se vante auprès de sa mère qu’il gagne bien sa vie, qu’il possède une belle 404…
Les problèmes commencent le jour où sa mère arrive d’Algérie.

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CLUB DE L’ETOILE 14 Rue Troyon, 75017 Paris

Vendredi 27 novembre à 20h
LA NUIT ENTR’OUVERTE 
de Tala Hadid (Maroc, UK, France, Qatar/Fiction/2014/93’) 
Zakaria se met en route à la recherche de son frère Youssef, parti faire le jihad en Irak ; il rencontre Aïcha, une orpheline tombée entre les mains d’un trafiquant d’enfants.

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Samedi 28 novembre à 20h
DANS MA TETE UN ROND-POINT
de Hassen Ferhani (Algérie, France, Qatar, Liban /2015/fiction/ 100’)
Un grand abattoir d’Alger. Ses héros préfèrent discuter d’amour ou résumer la situation politique à travers la vie des footballeurs, des prophètes et des oiseaux. Par le jeu des libres conversations, par le miracle des rencontres, l’abattoir devient un pays, l’Algérie aujourd’hui,

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Dimanche 29 novembre à 15h
 N’SIBI (LE BEAU-FRERE)article 1089
de Hassene Belaïd (Algérie /fiction /2014/22’)

Sétif de nos jours. Ali, jeune homme issu des classes populaires, mène une vie cloisonnée et routinière. Un soir, il est obligé de raccompagner Habiba, sa belle-sœur. Mais elle incarbe un mode de vie qu’il rejette absolument…

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CHABAB ! de Zakia Tahiri (aroc/documentaire /2015/70’)
CHABAB ! - Une jeunesse marocaine - se propose de dresser un état des lieux de la jeunesse marocaine d’aujourd’hui à travers les portraits croisés de 6 jeunes marocains qui sont à un moment crucial de leurs vies : le passage à l’âge adulte.

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ECOLE NORMALE SUPERIEURE 

Mardi 10 novembre à 20h30, dans le cadre du ciné-club de l’ENS au 45 Rue d’Ulm, 75005 Paris
OU VAS-TU MOSHE ? 
de Hassan Benjelloun (Maroc/fiction/2007/90’)
Au début des années soixante, après l’indépendance du Maroc. Quand Mustapha, le gérant du seul bar de la petite ville de Bedjaad, apprend que tous les juifs partent, il panique.
Si tous les non musulmans quittent la ville, il sera forcé de fermer le bar. C’est la loi…
Comment, dès lors, éviter la fermeture ?

Débat à la suite de la projection avec Simon Elbaz, acteur principal du film, et Annie Brunschwig

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Jeudi 20 novembre à 19h au 45 Rue d’Ulm, 75005 Paris
Hommage à Assia Djebar (voir la page qui lui est consacrée)
ZERDA OU LES CHANTS DE L’OUBLI de Assia Djebar (Algérie/documentaire/1982/60’)
Poème en quatre chants qui sont autant de tableaux, réalisé à partir d’archives de la colonisation, cet essai d’Assia Djebar s’attelle à un travail de déconstruction de la mise en image du Maghreb colonial, pendant que la bande-son tente de faire lever d’autres images du Maghreb méprisé en (re)donnant la parole aux Maghrébins au moyen de voix anonymes recueillies ou ré-imaginées.

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Séance dans le cadre du séminaire animé par le philosophe Marc Crépon, dont le thème est : "Quand le cinéma pense la politique : conflit racial "

Vendredi 20 novembre à 19h, salle Jean Jaurès au 29 rue d’Ulm
Hommage à Assia Djebar
(voir la page qui lui est consacrée)
LA NOUBA DES FEMMES DU MONT CHENOUA de Assia Djebbar (Algérie/Documentaire-Fiction/1978/115’)
15 ans après la fin de la guerre d’Algérie, Lila retourne dans sa région natale, obsédée par la mémoire de la guerre d’indépendance qui a marqué son enfance.
Un film essentiel pour comprendre les femmes en Algérie.

Débat à la suite de la projection avec Amel Chouati, Denise Brahimi, Jeanne Marie Clerc, Cherifi Laakri, Ahmed Bedjaoui et Jalila Dor

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INSTITUT DES CULTURES D’ISLAM 56 rue Stéphenson, 75018 Paris / 19-23 rue Léon, 75018 Paris

Jeudi 5 novembre à 19h
VHS KAHLOUCHA 
de Nejib Belkadhi Tunisie/ Documentaire /2008 /80’)
Nejib Belkadhi suit le tournage d’un film amateur réalisé par Moncef Kahloucha, peintre en bâtiment tunisien et fan de films de genre des années 1970.
Il sort en VHS des remakes loufoques de classiques du cinéma dans lequel il joue le rôle principal aux côtés des habitants du quartier populaire de Kazmet à Sousse.

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Samedi 7 novembre à 15h
GOHA, LE SIMPLE 
de Jacques Baratier (Tunisie, France/fiction /1959/83’)
Goha est un jeune homme naïf et pauvre qui ne se sépare jamais de son âne. Dans le voisinage de Goha habite Taj-El-Ouloum, un vieux sage respecté et admiré de tous. Le vieil homme souhaite se remarier. Il choisit la jolie Fulla. Mais très vite, la belle s’ennuie dans son nouveau foyer. Sa servante lui présente Goha qui, trompant la vigilance paternelle, revient la voir chaque nuit. Bientôt, le scandale éclate...

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LE LOUXOR, PALAIS DU CINEMA 170 Boulevard de Magenta, 75010 Paris

Mardi 17 novembre à 20h
CONTRE-POUVOIRS 
de Malek Bensmaïl (Algérie/documentaire /2013/97’)’
« Après vingt années d’existence et de combat de la presse indépendante algérienne, de joies et de pleurs, j’ai décidé d’installer ma caméra au sein de la rédaction d’El Watan qui suit l’actualité de ce nouveau printemps algérien… Le Président Bouteflika brigue un quatrième mandat.

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Jeudi 19 novembre à 20h
THE SEA IS BEHIND 
de Hicham Lasri (Maroc/Fiction/2014/88’) 
C’est l’histoire d’une troupe qui organise la cérémonie de la h’dya, une procession de mariage. On suit Tarik le personnage principal, un troubadour qui se grime en femme pour danser sur la carriole. Mais aussi son père, dont le cheval s’arrête parce qu’il est trop vieux. On lui explique qu’il faut l’abattre mais il refuse. On ne sait pas si on est dans le passé, le présent ou le futur.

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Jeudi 3 décembre à 20h
A PEINE J’OUVRE LES YEUX 
de Leyla Bouzid (Tunisie/fiction /2015/102’)
Tunis, été 2010, quelques mois avant la Révolution, Farah 18 ans passe son bac et sa famille l’imagine déjà médecin… mais elle ne voit pas les choses de la même manière.
Elle chante au sein d¹un groupe de rock engagé. Elle vibre, s’enivre, découvre l’amour et sa ville de nuit contre la volonté d’Hayet, sa mère, qui connaît la Tunisie et ses interdits.

72 Mostra de Venise – Venice Days Prix du public, prix label cinéma europa
Festival international du film de Toronto – Contemporary World Cinema

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MAISON DE LA TUNISIE 45 A Boulevard Jourdan, 75014 Paris

Samedi 5 décembre à 17h30
Hommage à Tahar Cheriaa (voir la page qui lui est consacrée)
TAHAR CHERIAA, A L’OMBRE DU BAOBAB
de Mohamed Challouf Tunisie/documentaire/2015/70’
Portrait de Tahar Cheriaa, père incontestable du panafricanisme cinématographique et fondateur des Journées Cinématographiques de Carthage, premier festival de cinéma en Afrique et dans le Monde Arabe (1966).

C’est aussi l’histoire de son amitié avec les pionniers du cinéma en Afrique qui, au lendemain des indépendances, ont déployé toute leur énergie pour créer les premières images de l’Afrique post-coloniale.

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Accueil à 17h des participants, des invités et du public

Présentation de l’hommage à Tahar Chériaa à 17h15 par Mouloud Mimoun (Président du Maghreb des Films), Souad Houssein (Spécialiste de programmes cinéma à l’Organisation Internationale de la Francophonie) et Mr. Imed Frikha (Directeur de la Maison de la Tunisie)

Table ronde à 19h en présence de : Mohamed Challouf, réalisateur, .Ferid Boughedir, historien du cinéma et cinéaste tunisien, .Boudjema Karèche, écrivain, ancien directeur de la Cinémathèque algérienne, Nejib Ayed, producteur, ancien responsable de la Fédération Tunisienne des cinés-clubs, Marie Pierre-Bouthier, Morgan Corriou

A 20h30
LA NOIRE DE …
De Ousmane Senbène (Sénégal, France/fiction /1966/65’)
Une jeune bonne sénégalaise suit ses patrons français retournant dans leur pays, à Antibes. Le plaisir de la découverte de ce nouveau monde se transforme vite en déconvenue profonde : isolement, mépris des patrons, racisme ambiant, tâches ménagères incessantes...

Prix Jean-Vigo 1966
Tanit d’or aux premières Journées cinématographiques de Carthage en 1966

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MAISON EUROPEENNE DE LA PHOTOGRAPHIE 5/7 Rue de Fourcy, 75004 Paris
Rétrospective Daoud Aoulad Syad (voir la page qui lui est consacrée)

Jeudi 12 novembre à 17h10
ADIEU FORAIN 
de Daoud Aoulad-Syad (1998/92’)
Dans le sud du Maroc, Kacem, forain et propriétaire d’un stand de loterie ambulant, engage Rabi, jeune danseur travesti pour sillonner les villages durement touchés par la sécheresse. Trois histoires se mêlent au fil des routes et des haltes : celle de Rabi qui rêve d’un ailleurs plus clément ; celle de Kacem, malade, qui fuit un passé sombre qu’il n’arrive pas à oublier ; enfin celle de son fils, Larbi, ex-boxeur, ex-taulard, violent et mythomane.

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Samedi 14 novembre à 17h10
EL OUED 
de Daoud Aoulad Syad (1995/20’)
Témoignage d’un pêcheur qui raconte le Bouregreg des années soixante

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ADIEU FORAIN de Daoud Aoulad-Syad (1998/92’)
Dans le sud du Maroc, Kacem, forain et propriétaire d’un stand de loterie ambulant, engage Rabi, jeune danseur travesti pour sillonner les villages durement touchés par la sécheresse. Trois histoires se mêlent au fil des routes et des haltes : celle de Rabi qui rêve d’un ailleurs plus clément ; celle de Kacem, malade, qui fuit un passé sombre qu’il n’arrive pas à oublier ; enfin celle de son fils, Larbi, ex-boxeur, ex-taulard, violent et mythomane.

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Samedi 21 novembre à 17h10
EL OUED

De Daoud Aoulad Syad (1995/20’)
Témoignage d’un pêcheur qui raconte le Bouregreg des années soixante

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LE CHEVAL DU VENT de Daoud Aoulad Syad (fiction/2001/89’)
Une amitié se tisse entre Tahar, un vieil homme qui à la suite d’un rêve, veut s’en aller mourir sur la tombe de sa femme, et Driss, un jeune homme à la recherche de sa mère. Aussi fragiles l’un que l’autre, tous deux traversent alors le Maroc en side-car, chacun à la recherche de ses fantômes, à la recherche de lui-même.

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Vendredi 27 novembre à 17h10
MEMOIRE OCRE 
de Daoud Aoulad-Syad (documentaire/1989/17’)
L’itinéraire d’enfance du réalisateur à travers la ville de Marrakech, fait il y a quelque années, photographies du passé, porteuses d’un message ou non, intérieures ou extérieures, tendres ou cruelles, liées dans un film établissant un va et vient entre le mouvement dans l’image et le caméra, le blanc et la couleur, le passé et le présent.

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TARFAYA, LE VOYAGE IMMOBILE (TARFAYA BAB LABARH) de Daoud Aoulad-Syad (fiction/2004/99’)
Miriam, une jeune fille de 28 ans arrive dans un petit village du Nord. N’ayant en poche qu’une adresse et un numéro, elle va y rester dans l’attente du jour où elle pourra émigrer…
Troisième film du réalisateur Daoud Aoulad Syad ("Adieu forain", "Le Cheval de vent"), TARFAYA met en scène une femme qui a décidé d’émigrer. Mais TARFAYA n’est pas un film sur l’émigration, c’est surtout l’occasion pour le réalisateur de décrire le quotidien d’un petit village et de ses habitants. Tout le village vit en effet du voyage immobile de ceux qui veulent émigrer…

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Samedi 5 décembre à 17h10
ENTRE L’ABSENCE ET L’OUBLI 
de Daoud Aoulad-Syad (fiction/1993/20’)
Un potier achète un jour un vieux cadre afin d’y placer des photos de famille. Mais le marchand ne le lui cède qu’avec la photo qu’il contient, celle d’un inconnu. Le potier se met à la recherche de l’inconnu afin de lui rendre sa photographie.

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EN ATTENDANT PASOLINI de Daoud Aoulad-Syad (fiction/2007/114’)
Thami est réparateur de télévision et figurant dans les films étrangers tournés dans son village non loin de Ouarzazate. Il s’est lié d’amitié avec Pasolini lors du tournage du film Oedipe Roi en 1966. Il avait alors dix-neuf ans.
Quarante ans après, une équipe d’italiens, vient à Ouarzazate préparer le tournage d’un film sur la Bible. Thami croit que son ami Pasolini est de retour ...

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Samedi 12 décembre à 17h10
MEMOIRE OCRE 
de Daoud Aoulad-Syad ( Maroc/Documentaire/1989/17’)
L’itinéraire d’enfance du réalisateur à travers la ville de Marrakech, fait il y a quelque années, photographies du passé, porteuses d’un message ou non, intérieures ou extérieures, tendres ou cruelles, liées dans un film établissant un va et vient entre le mouvement dans l’image et le caméra, le blanc et la couleur, le passé et le présent.

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LA MOSQUEE  de Daoud Aoulad-Syad (fiction/2010/85’)
Les décors du film antérieur de Daoud Aoulad-Syad, En attendant Pasolini, avaient été élevés sur des parcelles de terre louées à des villageois. Une mosquée avait ainsi été construite sur le terrain de Moha. À la fin du tournage, l’équipe du film quitte les lieux.
Les villageois démolissent tous les décors à l’exception de la mosquée, devenue un véritable lieu de culte et de prière pour tout le village. Et un vrai désastre pour Moha qui cultivait sur ce terrain les légumes qui permettaient à sa famille de vivre.

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STUDIO DES URSULINES 10 Rue des Ursulines, 75005 Paris

Mercredi 25 novembre à 20h
ALGERIE POSITIVE - MADE IN ALGERIA 
de Yazid Arab (Algérie/Documentaire/2015/52’)
L’ouverture économique et sociale des années 90 a permis, à des milliers d’entrepreneurs privés Algériens de faire fortune à la faveur des importations et d’investissements dans différents domaines (informatique, électronique, produits pharmaceutiques, etc.).

Le film ambitionne de briser l’image d’un pays immobile qui peine à se développer, à se diversifier et s’inscrire dans le long terme. 

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SAINT-ANDRE DES ARTS 30 Rue Saint-André des Arts, 75006 Paris

Mercredi 9 décembre à 18h30.
BOUT A BOUT 
de Asmae El Moudir (Maroc/fiction/2014/25’)
Laarbi, un vieux projectionniste, travaille dans une salle de cinéma isolée dans la campagne et menacée de fermer. Son petit-fils, un garçon de 10 ans, découvre en rangeant les affaires de Laarbi, de vieux morceaux de pellicule qui vont transformer l’avenir de cette salle...

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BLA CINEMA de Lamine Ammar-Khodja (Algérie/documentaire/ 2014/82’)
Meissonier, Alger centre, sur la placette en face du cinéma fraîchement rénové « Sierra Maestra », le cinéaste se mêle aux gens du quartier pour parler avec eux de films. Attentif à ce qu’ils peuvent lui raconter de leur vécu, il se laisse très vite porter par les rencontres spontanées et les situations improvisées. Le film dresse un portrait vivant de la ville et propose en filigrane une réflexion sur la place du cinéma en Algérie.

2014 29èmes Entrevues de Belfort, France
* PREMIÈRE MONDIALE
* Mention Spéciale du jury

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Mercredi 9 décembre à 21h
LE VOYAGE DANS LA BOITE 
de Amine Sabir (France/Fiction/2014/ 27’)
Abdelkrim arrive en Corse pour rapatrier au Maroc le corps de Saïd, son ami décédé dans la précarité. Il doit le rendre à sa famille qui s’impatiente au pays pour l’enterrer le plus vite possible.

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PAR OU COMMENCER ? de Nacer Khemir (Tunisie/Fiction/ Documentaire / 2014/80’)
« Il y a en Tunisie autour de vingt mille cafés mais à peine dix salles de cinéma. Dans le passé nous, les arabes, avons raté la révolution de l’imprimerie. Je me demande, si aujourd’hui, nous ne sommes pas en train de rater la révolution de l’image » Nacer Khémir

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Jeudi 10 décembre à 18h30
LA NUIT ET L’ENFANT 
de David Yon (France/documentaire/2015 /60’)
Une nuit se prolonge sur les hautes steppes de l’Atlas. Lamine et un enfant marchent sur une terre où résonne encore l’écho d’une menace. Au gré des lieux traversés où le passé affleure, il nous conte son histoire.

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UN RETOUR de Abdallah Yahya (Tunisie/Documentaire/2013/59’)
Dans un village tunisien, à Sidi Bouzid, ont lieu des arrestations massives contre les jeunes qui ont revendiqué leur droit au travail. Les anciens du village décident d’entamer une grève de la faim. Hamza, 12 ans, nous fait découvrir ce village, entre résistance et mémoire.

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Jeudi 10 décembre à 21h
POUSSES DE PRINTEMPS 
de Intissar Belaid (Tunisie/Documentaire/ 2014/23’)
En Tunisie, dans les zones rurales de la région du Kef, des enfants racontent leur révolution : de leurs paroles naissent des images animées.

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LE VISAGE DE DIEU de Bahram Aloui (Tunisie/Documentaire/ 2014 /58’)
A 30 ans passés et à la suite de nombreuses déceptions, un jeune homme déjà usé par la vie, se remémore son passé. Il revient ainsi sur son enfance dans son village du nord-ouest tunisien au milieu des années 80. Il se déplace à travers différents espaces, lieux publics réels ou imaginés qu’il cherche à s’approprier pour continuer à raconter son histoire.

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Vendredi 11 décembre à 18h30
HORS-JE 
de Moufida Fedhila (Tunisie/Docufiction/2014/6’37)
Hors-je est un espace où tout semble possible à travers le rêve qui se conte, se métamorphose et devient acteur.
Dans un quartier populaire de Tunis (Cité Ettadhamen), les enfants sont invités à envahir les murs en déclarant le rêve total, libre et sans limites.

Prix du Meilleur Court Métrage Documentaire au Festival des Réalisateurs Tunisiens.

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ZAAFRANE de Zaafranee Khaled Ghorbal (Tunisie, France /documentaire / 2015/90’)
Un film tourné en 2001 et perdu aussitôt après le tournage. C’est la rencontre d’une famille nombreuse avec ses membres de plusieurs générations vivant dans le même houch, à Zaafrane, petit village tunisien. Une partie du film est retrouvée une dizaine d’années après, en images VHS de travail. La décision de faire aboutir le film a nécessité un retour fin 2012, pour revoir la famille et son évolution, ainsi que Zaafrane après tout ce temps et après une révolution.

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Vendredi 11 décembre à 21h
LES POISSONS DU DESERT
de Alaa Eddine Aljem (Maroc/Fiction/ 2015/30’)
Le sud Marocain. Le fils veut devenir un pêcheur et rêve d’aller à la mer. Le Père ne peut comprendre le désir de son fils de quitter leur terre. C’est l’histoire d’un père et d’un fils qui ont besoin de se séparer pour se rencontrer.

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LA ROUTE DU PAIN
De Hicham Elladdaqi (Maroc, France, Belgique/Documentaire/2015/61’)
Le quotidien des habitants d’un quartier populaire de Marrakech, ou le ballet toujours recommencé des laissés pour compte d’un système. Chaque jour, ils sont des milliers d’hommes et de femmes à se poster aux pieds des remparts de la Médina pour quémander du travail. Ils sont les petites mains, la cheville ouvrière indispensable à l’essor économique d’une ville portée par une industrie touristique florissante.

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Samedi 12 décembre à 18h30
Hommage à Bouanani (voir la page qui lui est consacrée)

Le premier et le dernier films :
LE MIRAGE 
de Ahmed Bouanani (Maroc/Fiction/1979/100’)
L’unique long-métrage de fiction d’Ahmed Bouanani constitue une date marquante de l’histoire du cinéma marocain : « Un homme découvre de l’argent dans un sac de farine. C’est le début de la fable qui se situe entre hier et demain, entre le silence et le cri, et qui s’achève comme une désillusion. »

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TARFAYA, OU LA MARCHE D’UN POETE de Ahmed Bouanani et Mohamed Abderrahman Tazi (Maroc/Fiction/1966/20’)
Le premier court-métrage d’Ahmed Bouanani raconte l’histoire d’un homme de Tarfaya qui, depuis sa plus tendre enfance, pénétré par la grandeur de son pays, la puissance de sa beauté et la vie de ses ancêtres, part à la recherche d’un grand poète populaire dont on lui a parlé, pour apprendre de lui la sagesse, la musique, et l’art merveilleux du chant et de la poésie.

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Samedi 12 décembre à 21h
Hommage à Bouanani (voir la page qui lui est consacrée)
LES QUATRE SOURCES 
de Ahmed Bouanani (Maroc/Fiction/1978 /37’)
L’unique film en couleur d’Ahmed Bouanani est un essai poétique et onirique en arabe dialectal (parole poétique zajal, forme déclamée dans des assemblées populaires). Il suit la trajectoire d’un jeune homme dont le village est incendié et la mère tuée. Il se souvient des paroles de son père sur son lit de mort qui lui conseille d’aller trouver un sage dans les montagnes et part à sa recherche.

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Dimanche 13 décembre à 18h30
Hommage à Bouanani (voir la page qui lui est consacrée)
SIX ET DOUZE 
de Ahmed Bouanani, Mohamed Abderrahmane Tazi, Abdelmajid Rechiche (Maroc/Documentaire/1968/18’)
Vues de Casablanca, véritable symphonie urbaine digne de Walter Ruttmann ou Dziga Vertov, ainsi décrite par l’équipe de réalisation : "Nous avons choisi des images à travers une ville - des instants - temps cloîtré ouvert carapaçonné fenêtres dans le vide des yeux fermés entrebâillés agrippés - absence et solitude des pavés mouillés d’une fête morose qui s’est terminée, peut-être le noir l’a absorbée l’a enfermée, dans des cadenas par delà des clés rouillées immensément grandes et des portes qui ne tiennent plus - soudain l’ombre - soudain le geste le bruit de pas …." (A. Bouanani)

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TRACES/WECHMA de Hamid Bennani (Maroc/fiction/1970/110’)
Mekki adopte Messaoud, jeune orphelin de 8 ans. Ne pouvant s’adapter facilement à son nouveau milieu, Messaoud supporte mal les exigences de son père adoptif, commet des actes répréhensibles, et attire sur lui sa colère. Devenu adolescent, il fréquente une bande de délinquants et commet quelques délits mineurs. Il ne veut pas de cette vie marginale. Mais il est pris dans un engrenage qui provoque sa propre perte.

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Dimanche 12 décembre à 21h
Hommage à Bouanani (voir la page qui lui est consacrée)

MEMOIRE 14 de Ahmed Bouanani (Maroc/Documentaire/1971/24’)
Mémoire 14 est à l’origine un poème écrit par Bouanani en 1967. Réalisé à partir des archives filmées du Centre Cinématographique Marocain, le film se veut un récit du Protectorat Français au Maroc, vu par les mémoires nourries de mythes des Marocains.

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DE CHAIR ET D’ACIER de Mohamed Afifi (Maroc/Documentaire /1958 /11’)
Evocation du port de la ville de Casablanca, faite de chair et d’acier, avec ses ballets de grues et la marche de ceux qui la peuplent. (Cinémathèque de Tanger)

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RETOUR EN AGADIR de Mohamed Afifi (Maroc/Documentaire/ 1967/11’)
Retour à Agadir, avant et après le séisme de 1960. Le réalisateur décrit ainsi ce court-métrage : « Retour à Agadir n’est pas un documentaire, encore moins un film touristique. Si je devais « le raconter », je dirais qu’il s’agit de la brève course d’une mémoire présentée sous l’apparence d’une statue en plusieurs mouvements. Si cela paraissait insuffisamment clair, j’ajouterais que les strophes qui composent Retour à Agadir constituent un ouvrage fermé. »

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MEMOIRE OCRE de Daoud Aoulad-Syad ( Maroc/Documentaire/ 1989/17’
L’itinéraire d’enfance du réalisateur à travers la ville de Marrakech, fait il y a quelque années, photographies du passé, porteuses d’un message ou non, intérieures ou extérieures, tendres ou cruelles, liées dans un film établissant un va et vient entre le mouvement dans l’image et le caméra, le blanc et la couleur, le passé et le présent.

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KHOBZ OU BISSARA de Sanaa Zaher, Amina El Youssoufi, Youssef Belkhadir, Mohamed Elafifi, Bad Sektaoui (Maroc/2012/…/11’)
Film d’atelier encadré par Ivan Boccara et Ayoub el Jamal

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WANTED / AL HAREB / LA FUITE
De Ali Essafi (Maroc, EAU/Documentaire/2011/24’)
Les années soixante-dix au Maroc. Les révoltes étudiantes revendiquent liberté et démocratie. Pour échapper aux arrestations de masse, Aziz accepte de vivre sous une fausse identité. Puissante évocation d’un parcours militant sur fond de répression durant les années de plomb.

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Lundi 14 décembre à 18h30
Hommage à Noureddine Saïl (voir la page qui lui est consacrée)
LA REGLE DU JEU 
de Jean Renoir (France/1939/fiction/112’)
Le marquis de la Chesnaye organise une partie de chasse sur son domaine de Sologne. Une pléiade d’invités arrive au château dont André Jurieu, héros national depuis sa traversée de l’Atlantique en vingt-trois heures. Un exploit réalisé pour les beaux yeux de la marquise Christine de La Chesnaye, en vain. Dans une société où nobles et domestiques sont soumis à la règle des conventions, Jurieu, par cet amour, bouleverse le jeu.

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GHAZAL AL BANAT (FLIRT DE JEUNES FILLES) de Anwar Wagdi (Egypte/fiction/1949/100’)
Himam, un instituteur sans le sous, est engagé par un homme richissime pour donner des leçons particulières à sa fille. Il tombe amoureux de la jeune fille mais lui cache ses sentiments. Il lui incombera le rôle ingrat de la tirer d’affaires au gré de ses mésaventures sentimentales.

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Mardi 15 décembre à 18h30
Hommage à Noureddine Saïl (voir la page qui lui est consacrée)
SUR LA PLANCHE 
de Leila Kilani (Maroc, France/fiction/2011/106’)
« Je ne vole pas, je me rembourse ; je ne me prostitue pas, je m’invite ; je ne mens pas, je suis juste en avance sur la vérité : la mienne. » C’est ainsi que s’exprime au début du film, Badia, la meneuse d’un quatuor d’ouvrières qui, la nuit, versent dans la délinquance. A Tanger, où elles survivent, employées dans un atelier de décorticage des crevettes ou dans une usine de confection. Badia est en permanence à fleur de peau. Subversive, excessive, elle monte coup tordu sur coup tordu pour ne pas renoncer à ses rêves.

Sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs du festival de Cannes 2011

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Mardi 15 décembre à 21h
Hommage à Noureddine Sail (voir la page qui lui est consacrée)
LE GRAND VOYAGE 
de Mohamed Abderrahmane Tazi (Maroc/fiction/1981/73’)
Variation sur le thème de l’itinéraire balisé, l’histoire de ce jeune camionneur à qui il arrive de nombreuses aventures, échappe à toute classification car s’il s’inscrit au départ dans le néo-réalisme, il bifurque vers la tragi-comédie pour basculer finalement dans la traduction fantasmatique du désespoir.

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BLACK SCREEN de Nour-Eddine Lakhmari (Maroc/docufiction /2014/15’)
Le cinéma marocain dans tous ses états !
Nadia Larguet, scénariste, fait parler la petite famille du cinéma marocain,... sous le mode du second degré.

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